vendredi 1 avril 2011

L'utérus

"[...]Le symbole de la Déesse-Mère, la vache céleste Hathor, est justement une maison qui entoure le hiéroglyphe du faucon Horus, archétype de tous les futurs rois.


Son nom égyptien est Hut-Heru, litt "temple ou demeure d'horus". Hathor est la matrice, elle est l'utérus d'Horus: l'Hut-Heru(s). Le mot "utérus" provient du latin et on le trouve en français et en anglais. Stupéfiant n'est-ce pas?" *

Extrait du livre "Le testament de la vierge" de Anton Parks.

P.S; Hathor est le nom d'Isis qui attend et enfante Horus (Si je ne me trompe....)

La belle verte



Le langage matrice-Petit exemple

Pour continuer dans la lignée du billet précédent, un petit exemple va faire du bien. Pour traduire un mot, donc, il faut un dictionnaire suméro-akkadien. On décompose le mot voulu en syllabe, et on va voir dans le dictionnaire à quelle signification la syllabe correspond. (il peut y avoir plusieurs sens selon l'homophonie, plus ou moins longue, ou appuyée, de la syllabe en question.)
Si on prend le mot religion par exemple;
En chinois, la religion s'exprime par le vocable "dzungjyau" qui, décomposé en sumérien, manifeste "la soumission de l'humanité". Sa prononciation exacte est Jungaau. Sachant qu'en sumérien le "j" n'existe pas, cela donnerait : HUN-GA-U "ce qui diminue (ou met au repos)les moutons"...


Au japon, la religion s'exprime par le mot "shukyô". La décomposition du terme en sumérien donne plusieurs possibilités similaires grâce à l'homophonie; SU-KI-U "le contrôle de la terre en sommeil" ou SU-KI-U5 "le contrôle de la totalité de le terre" ou encore SU-KI-U8 "le contrôle de la terre des moutons"
Chez les Hopis, le mot religion se dit "wiimi". La décomposition donne WI-IM-I, litt. "l'entendement qui domine l'argileux", càd l'homme,....
La décomposition du mot latin "religio" va donner RE-LI-GI-U, litt. " ce qui accompagne les tablettes d'apprentissage des moutons", ou encore "les tablettes d'apprentissage des moutons"....

Comme quoi...
Merci à Anton Parks

P.S; en rapport avec le billet précédent ou le nom Gina'abul est plusieurs fois mentionné; il fait référence à cette "famille" arrivée sur la terre et dont une partie a asservi l'humanité. Gina'abul, décomposé en syllabe va donner Gina-AB-BUL, càd "Véritable(s) ancêtre(s) de la magnificence". Et la traduction sumérienne donne "Lézard(s)". Nous parlons donc bien de qui vous savez. Mais attention, comme partout, il y'a des gens qui tendent vers l'obscur, et d'autres qui tendent vers l'harmonie. Sur la terre comme ailleurs....

Le langage des étoiles.

Bien joué! Quel information que celle-là.... Le langage des étoiles, langage matrice (Emesa) des langages utilisés par la majorité des grandes civilisations humaines sur terre.
Pour résumer très vite; Il y'a un bout de temps de ça, Des gens arrivent sur Terre. Différentes races d'une même famille galactique. Une même famille au sein duquel les dissensions font rage. Certains êtres sont du côté obscur de la Force, d'autres tendent vers l'harmonie. Une famille dont les membres ne font pas ce qu'ils veulent. On doit composer avec certaines règles. Des fois on fait le mal, par obligation, et ça fait mal. On se dit que si on reste à obéir aux ordres, on reste dans le cercle, et qu'on ne sera pas remplacé par pire que soi. Mais bon je m'éloigne peut-être un peu là.



Bref, création de l'humanité et des langages. Anton Parks dans son premier livre "Le secret des étoiles sombres" nous parle d'un langage matrice, héritage des créateurs de notre véhicule terrestre, ce corps que nous habitons présentement.
Je lui laisse place ici en diffusant un court extrait de son livre "le secret des étoiles sombres" ci-après;
[...]. A l'origine, ce langage fut inventé et assemblé par les prêtresses Gina'abul dénommées Amasutum. Le "langage matrice" était un dialecte secret exclusivement féminin dont le vocabulaire était interdit aux mâles et plus particulièrement au sous-groupe nommé Anunnna. En contrepartie, l'ensemble des mâles de l'espèce Gina'abul communiquait en Emenita, litt. "langage mâle", qui correspond aux sumériens pour les linguistes.(....) Comme nous l'avons mentionné précédemment, Les Gina'abul originels répartis sur la Terre étaient en désaccord profond entre eux. Les nombreux idiomes dispersés sur l'ensemble du globe résultent de cette mésentente intestine et millénaire. Il fallut aux Gina'abul rebelles de véritables dictionnaires spécialement conçues pour chaque ethnie pour prétendre communiquer avec tous les ancêtres terrestres. (...)La tâche ne fut pas simple, et les idiomes un peu rébarbatifs à traduire, créant parfois des dialectes à rallonge, mais cela leur permit de mettre en déroute pendant de très nombreux millénaires le sous-groupe nommé Anunna, majoritaire sur la Terre. Les immigrants humains nommés Sumériens désignaient le langage courant des Gina'abul (L'Emenita) sous le nom de Emegir ("langue princière") et parfois Emean ("langue du ciel"). Ce langage- généralement formé de deux racines invariables (nominale et variable) sur lesquelles se collent différents suffixes et préfixes- produit une articulation grammaticale sophistiquée et donne en final un dialecte très raffiné. En contrepartie, les idiomes des rebelles furent volontairement élaborés d'une façon nettement archaïque, leur donnant un aspect argotique comparativement au langage courant Gina'abul. Le code est toujours présent dans les anciens langages de la Terre, il arrive parfois que quelques consonnes aient changé légèrement avec le temps, mais ce n'est pas fréquent."
Selon Anton Parks la multiplication des langages sur terre n'est pas la conséquence de l'arrogance des humains voulant se rapprocher des dieux, comme voudrait le faire croire la morale et la religion (tour de Babel), mais bien le fait de quelques rebelles (au système dominant d'alors)qui ont voulu donner à l'humanité plus d'autonomie, en mettant des battons dans les roues du pouvoir central dans ce cas ci.